mardi 18 décembre 2007

Sans TGV, on va végéter ? La Montagne du 18 décembre

L'union sacrée... ou le miroir aux alouettes ? Il y a un dossier intéressant dans le Modergnat (n°37), là-dessus. Vous remarquerez à la lecture que Montluçon n'y apparait pas et que l'arlésienne ne verra un début de financement qu'en 2013 pour une livraison dans le meilleur des cas en 2030.
Honnêtement, qui peut croire que le doublement de la ligne Paris-Lyon va passer par Clermont ? Un vent de campagne, si j'ose dire.
On pourrait parler de choses sérieuses, pour changer ? A t-on vraiment besoin d'un TGV à Montluçon ? La question se pose déjà à Clermont, alors j'imagine qu'on a déjà la réponse pour nos 39700 habitants !
Le vol Lépaud-Paris n'a jamais tenu bien longtemps faute de passagers, ça en dit long sur le potentiel du marché local. Allez, on la fait raisonnable et on pense à entretenir ce qu'on a, à grappiller des minutes et à augmenter les possibilités de déplacements en améliorant la liaison avec Moulins, Vierzon et Clermont.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

D'accord le TGV ; c'est toujours au moment des élections qu'il revient à l'ordre du jour. Mais un doublement Paris-Lyon en passant par Clermont est un peu une ânerie. Quel est le voyageur qui irait à Lyon par ce trajet plus long, plus cher ?
C'est comme si on faisait Paris-Lyon en auto par l'A71, l'A72 et l'A47 : plus long, plus cher. Par contre, un TGV Paris-Languedoc-Roussillon-Catalogne soulagerait bien la ligne Paris-Lyon en passant par chez nous, et tout le monde y trouverait son comlpte.