Si l'interprétation de la "réunion-débat sur la consultation" que fait l'article est juste, il y a du mal de fait et je peux retourner à mes activités normales... "(...) Daniel Dugléry situe ses relations avec la population et son public sur le terrain du cœur."
S'il y a un truc qui s'est propagé en ville petit à petit, d'un cercle d'amis à l'autre, pendant ces 7 longues années, c'est l'antipathie pour l'homme Dugléry Daniel. Autant j'imagine que la liste peut défendre ses dossiers de gestionnaire, autant sur ce front elle restera exposée.
Les grandes déclarations féales d'adoration (certains spécimens intéressants peuvent se trouver dans les commentaires de ce blog) ne pourrons rien contre les témoignages non partisans sur un mode de gestion et de relationnel autocratique et revanchard. Les fonctionnaires municipaux en ont été les premières victimes, mais c'est ressorti dès qu'il a fallu aller au charbon, en contact avec les gens, les institutionnels et les entreprises locales. Même à droite, le "plus jamais ça", ça existe !
Les sessions de rattrapage ne convaincront personne, pire même, elle aggrave le cas du malade : concertation bidon sur le Conservatoire le jour du débat participatif de la liste Lesterlin, réunion-débat sans débat mardi... on attend la suite du seppuku (切腹) de la droite "unie".
Le divorce est déjà prononcé. La réunion de mardi va faire écran de fumée et remotiver les troupes à droite, mais qui convaincre au-delà des 700 ?
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2 commentaires:
Pendant 7 ans on a entendu : "avant nous il n'y avait rien. Maintenant nous faisons tout." Le mépris des contradicteurs, nier que des choses d'orientations différentes se sont faites avant eux a été le leitmotif de la droite. Au point d'ignorer la conclusion des dossiers engagés avant par leurs adversaires (exemple : inauguration du pont de Blanzat ; Tonton lui avait eu la décence d'inviter VGE à l'inauguration du premier TGV).
Alors à force, ça fatigue la mauvaise foi.
Et la manière, les procès en tout genre contre syndicalistes et autres, la suffisance, la folie des grandeurs, le budget démesuré de communication, les mises au pas ou au placard, bref 7 ans, ça suffit.
En toute objectivité, je ne crois pas que les mises au placard soient l'apanage de la droite. Je ne défends pas ici ce qui s'est passé depuis 2001, mais soyons honnêtes : ce mode de fonctionnement, bien que détestable, est commun et "traditionnel" à toutes les sensibilités politiques, et à toutes les villes dès qu'un changement de bord se fait.
D Dugléry n'est ni pire ni meilleur à ce sujet.
Par contre il s'entoure bien mal depuis 7 ans. Et là aussi c'est de l'objectivité.
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