dimanche 24 février 2008

Il est photogénique en plus, le Petit Salopard de socialo-communiste sectaire et pas d'ici, hein ?, Info-mag





16 commentaires:

Anonyme a dit…

Espérons qu'INFO publiera la semaine prochaine une page entière pour chacun des trois, Goldberg, Casilla et Dreyfus, et non un tiers de page pour chacun.

Anonyme a dit…

doublon à cause de la mise en page :
Espérons qu'INFO publiera la semaine prochaine une page entière pour chacun des trois, Goldberg, Casilla et Dreyfus, et non un tiers de page pour chacun.

Anonyme a dit…

Je suis sur la liste de rené casilla et n'aimerai pas frequenter meme en photo un vieux stal style goldberg

Anonyme a dit…

A moins qu'il rembourse ses 800 000€ qu'il doit aux montluconnais il n'est effec tivement plus guere fréquentable;

si lesterlin l'accepte au 2ème tour votons duglery pour faire barrage, comme en 2002 on a voté Chirac pour faire barrage à le pen.

Anonyme a dit…

800.000 € sans les intérêts de retard.

Le bobo avec ses 11.000 € de revenus mensuels va certainement pouvoir aider le camarade . Du moins si il est logique avec lui-même.

A moins que ce ne soit un homme "de gauche" du style:

"çà c'est pour moi, partageons le reste"

Anonyme a dit…

Pour ce qui est des 800 000 euro de PG, la justice a tranché, maintenant il a décidé de se représenter et c'est au peuple que revient le soin de lui en tenir rigueur ou pas.

Deux petites remarques, nos amis dugléristes du site ne s'expriment pas beaucoup sur les sommes versées aux familles amies dans le cadre des achats des terrains de Centre aqualudique, Etonnant non ?
Comme si les petits arrangements entre amis n'étaient qu'une spécialité communiste ?

Enfin, dans la rubrique consacré à un article sur BL, on ne trouve que des arguments contre PG, peut-être que finalement si on peut critiquer ses idées et c'est naturel en démocratie, l'homme, lui doit faire preuve de droiture. Car honnêtement, vus les postes qu'il a occupé dens le passé, s'il devait y avoir des vrais casseroles, pas des ragots, je crois qu'on les aurait déjà entendus

Anonyme a dit…

Nasi30….. là je ne corrige pas

La justice a tranché pour PG. Il lui reste à payer.
Quant à son autre dette vis-à-vis des Montluçonnais (25 ans de gestion), oui l’électeur jugera.

En ce qui concerne tes allusions pour le moins diffamatoires, la justice pourrait bien avoir à se prononcer aussi.

Ton argument quant à l’absence de casseroles, rien d’exceptionnel. Cela a un côté antipolitique du style « tous pourris sauf moi ». As-tu été en formation à St Cloud ?

Tu baisses Nadi30 où sont tes arguments ?

Anonyme a dit…

Je me marre.
Les sbires de DD se plaignent que leur patron se fait allumer à longueur de blog, mais cette technique est et a toujours été la leur. Surtout dans les tracts anonymes des dernières années. Preuve est leur crainte d'utiliser un pseudo, ils préfèrent laisser "Anonyme" s'afficher ; ils ne doivent pas savoir qu'on peut les identifier avec leur adresse IP. Ça devrait les rassurer pour leurs menaces de procès chaque fois qu'ils lisent un truc qui ne leur plaît pas.
De vrais sarkozystes !

Anonyme a dit…

Petite question pour les tenants du bilan

Quel était le revenu moyen par foyer à Montluçon, lors de l'arrivée de DD, et quel est-il aujourd'hui ?

Quel était le nombre d'habitants à Montluçon en 2001, t quel est-il aujourd'hui ?

J'ai le regret de vous dire qu'une ville, c'est surtout des gens qui y habitent et qui y vivent quotidiennement, et lorsqu'on m'aura donné les vrais chiffres de la situation montluçonnaise, et qu'on ne me parle pas des 1800 emplois créés, car ce qui compte, c'st le solde entre emplois créés et emplois perdus, et là aussi, je veux le chiffre exact. Monsieur Dugléry, je vous respecte beaucoup comme tous les autres, mais pour les législatives, vous avez voulu être jugé sur votre bilan, alors que ce n'était l'objet, et aujourd'hui, alors que c'est d'actualité, vous le passez par pertes et profits. Pourquoi ?

Anonyme a dit…

et puis si les pros DD en on marre que DD se fasse allumer il a qu'à arreter de nous donner tant de raison de ne plus avoir envie de la voir!!!

et puis si ça vous gonfle ce qu'on dit ici vous avez qu'a lui demander de réouvrir les commentaires sur son site pour que vous continuiez à lui rendre hommage loyalement !!

Anonyme a dit…

@n a

Rappelle moi à quel famille politique appartient le maire de Levallois-Perret condamné à l'inégibilité il y a quelques années pour des magouillages suspects, et qui aujourd'hui est l'homme qui participe à tous les déplacements à l'étranger du Chef de l'Etat.

Alors et je suis tout à fait intransigeant pour les gens qui n'ont pas un strict respect des deniers publiques, mais moi je lesuis quelque soit leur appartenance politique, car dans toutes les familles il y a un pourcentage de coquins, c'est probable. La notion d'enrichissement personnelle est aussi à retenir, même si elle ne saurait être une justification

Anonyme a dit…

Les amis de DD qui s'en prennent aux 11 000 euros d'untel ou les 10 000 de tel autres devraient se méfier. Je ne crois pas qu'on puisse faire passer pour nécessiteux des avocats, des expert-comptable, des kiné (même en retraite) car on en trouve aussi sur la liste à DD, et ceux là ne doivent pas non plus avoir les mêmes préoccupations quotidiennes que le chomeur qui ne trouve pas boulot, ou le rmiste qui risque de se retrouver dans la rue.

Alors méfiance, n'en faite pas trop dans le populisme, vous n'y êtes pas forcément des plus crédibles

Anonyme a dit…

au fait, est ce quelqu'un a vu la prise de bec qui aurait eu lieu hier entre Goldberg et Lesterlin à propos de l'affichage? J'aimerais en savoir un peu plus sur la façon dont ils s'aiment ces deux la!

Anonyme a dit…

voici, à propos de: (avé l'accent) un texte de André Minvielle qui lutte contre les vilaines idées reçues et contre le cliché très tendance qui voudrait que le bôf du sud soit réac, raciste,etc.

un texte pour faire réfléchir ceux qui stigmatisent et se moquent des accents!!




L’invité de la semaine

André Minvielle
Artiste-musicienVocalchimiste.

« Suivez l’accent », c’est, « dans chaque territoire, glaner les voix d’ici et là, marcher entre deux langues, faire parler d’accent à accent, qui s’y frotte civique, l’histoire en pointillé, le passage des générations, l’exil, les rencontres, la culture, l’art de jouer, de déjouer, d’intégrer ou de résister, d’échanger de l’autre, montrer les différences à mettre l’accent, interjections, carrefours, sens contre sens, la vie au quotidien c’est fait de petites phrases, de grands et petits discours, d’illusions, de désillusions, de rebondissements comme autant de strates d’avenir. Une archéologie du corps. Un alphabet du social, a-social, b-social, c-social, d-social. Adresse ou maladresse une lettre sonore, être sonore.

Accent du transport, comme en musique Mozart et Bach avaient le leur, Oum Kalsoum un autre et Monk le sien. Un thème, une improvisation-sédimentation des passages, voix de passages et d’ancrage. Être ou ne pas être du coin. Clé de sol, clé des champs… » C’est par ces quelques lignes ramassées que je définis le travail du « facteur d’accent » que je suis. « La complexe articole de déterritorialisation » est ma maison/raison en marche, comme on dit quelquefois « on connaît la musique ». Ne pas donner un point de vue général aux choses parce que, vus d’en haut, les reliefs s’écrasent. C’est donc, « pratique du relief » et des altérités comme il n’y a pas de musique sans accentuer. Chaque matière s’honore.

C’est pourquoi je pense moins me positionner en défenseur de l’accent contre l’uniformisation qu’en lutteur des idées générales, celles des amalgames qui entraînent la honte, le dépit et la haine de soi et, pour « voix » de conséquences, des autres. Contre les idées reçues, et la pensée unique, l’unique accent. Par exemple, celui de l’écrivain Louis-Ferdinand Céline dans l’École des cadavres : « La partie non celtique de la France cause et pontifie. Elle donne au pays ses ministres, ses vénérables, ses congressistes hyper-sonores. C’est la partie vinasseuse de la République, la Méridionale, profiteuse, resquilleuse, politique, éloquente, creuse. » Ou bien encore : « Zone sud, zone peuplée de bâtards méditerranéens, dégénérés, de nervis, félibres gâteux, parasites arabiques, que la France aurait eu tout intérêt à jeter par-dessus bord. Au-dessous de la Loire, rien que pourriture, fainéantise, infects, métissages négréfiés ! » Ouf ! J’avais trouvé la dernière citation dans le livre de Claude Sicre (Fabulous Trobadors) en 1988, Vive l’Américke ! où il était question du blues, de Kerouac, de jeux poétiques primitifs et de chants électroniques languedociens. Depuis, tout le monde a fait son chemin, il y a eu les Zebda comme il y a les Femmouses T à Toulouse, les Massilia, Manu Théron, Dupain à Marseille, Arno en Belgique et Loïc Lantoine dans le Nord, l’accent s’intègre par les formes musicales « créolisées » aux influences de musiques venues d’autres cultures et pays. En réponse à la haine, à l’autosuffisance, l’accent est en quelque sorte dans la position de l’immigré, du nomade, qui pour se faire entendre doit se résoudre aux turbulences des malentendus (le parlé fort de certains fonctionnaires de l’administration : ON VOUS DIT QUE…). Il est pensé « Ils ne vont pas comprendre » et on infantilise, on rabaisse, on déresponsabilise. C’est le même rapport quelque part aussi entre le politique et les électeurs. Et pour ce qui est de l’éducation à l’école, la musique c’est toujours « du pipeau » (la musique…). Il faut se rappeler qu’entre les années trente et soixante, c’était les chansons d’accents des faubourgs (Damia, Fréhel, Piaf, Georgius), l’accent de la barrière de Paris dixit Richard Bohringer (à propos de celui de Michel Audiard) (aujourd’hui l’accent de la périphérie ville-rap-slam-hip-hop). L’opérette et le music-hall à Marseille, l’opéra à Toulouse. Claude Nougaro mixait son accent avec le phrasé de l’opéra, du Brésil et de son jazz, comme Bobby Lapointe désarticulait celui de Pézenas.

La musique intègre l’altérité et joue ici son rôle de traductrice. La musique de jazz par exemple a ses sources qui rayonnent par le monde. J’ai rencontré Archie Shepp, dépositaire sonore de son épopée dans l’histoire. Ce soir-là, il chantait les Feuilles mortes. J’y suis allé de ma question « follow the accent ». Il m’a répondu : « Bien sûr qu’un accent peut influencer une musique. L’origine des accents dans le sud des États-Unis, c’est ce qu’on appelle le créole. Les Noirs, ces gens qui venaient d’une partie de l’Afrique (de l’ouest du Sénégal jusqu’au Congo) ont créolisé l’anglais, le français (Poitou-Louisiane cajuns), l’espagnol. L’invention de ce langage mixant les origines et une langue, c’est le phénomène de créolisation (Édouard Glissant penseur poète écrivain). Parce qu’en Afrique la musique sert à une fonction et que le mot "art" tient un sens plus général. On dit une belle chanson. En fait c’est une chanson peut-être pour la pluie, ou bien un cérémonial. C’est fonctionnel… » Merci l’avis d’Archie. Une citation pour finir. Celle que Jacques Lacan (qui n’était pas troisième ligne de l’équipe de France de rugby) : « Un corps, c’est de la parole tel qu’il surgit. »

Anonyme a dit…

Nadi30

C'est pas parce que un bobo qui se dit de gauche, affiche ses revenus , qu'il faut faire les poches des autres.

Anonyme a dit…

Bonjour,

A la vue du titre de l'article, je vois que vous maitrisez les insultes aussi bien que notre cher président !

Etonnant !